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Hauteur de levée : 4 m
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Hauteur de levée de 3 à 6 m.
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Vous êtes-vous déjà demandé, comment faire pour déplacer les objets très lourds dont on se sert régulièrement dans le domaine de la construction ou de l’industrie? On entend souvent parler d’appareils de levage sur les chantiers de construction ou dans les usines. découvrez notre article pour tout savoir sur les palans électrique Bon nombre de personnes ne connaissent pas les palans électriques ni les treuils, équipant les ponts roulants, les portiques, les grues ainsi que de nombreuses autres machines de levage. Découvrez comment bien choisir son palan
Cependant, hormis les gens qui travaillent dans des usines ou sur des chantiers et qui manutentionnent des pièces lourdes, de nombreuses personnes n’ont pas la moindre idée de ce qu’est un palan. Ainsi, pour les gens qui souhaitent découvrir les palans, nous allons essayer de vous en parler le plus précisément possible et de la manière la plus simple.
Contrairement à ce que la plupart d’entre nous s’imaginent, les treuils et les palans sont différents. Ils n’ont pas toujours la même utilité. Un palan ne fait que du levage, alors que le treuil est prévu pour effectuer des opérations de levage et de hallage (tirer une charge à l’horizontale). Le treuil est toujours équipé d’un tambour sur lequel s’enroule un câble de levage ou de hallage et généralement sur plusieurs couches. Le palan électrique peut être lui aussi équipé d’un tambour sur lequel s’enroule un câble de levage, mais uniquement sur une seule couche. Le câble est enroulé très régulièrement sur le tambour, spires jointives, grâce à un guide câble. Le palan le plus répandu reste de loin, le palan à chaîne. En lisant cet article, RM2M vous permettra peut être d’en savoir d’avantage sur les palans électriques et sur tous les autres palans, tant sur le fonctionnement, que les moyens permettant de choisir le palan le plus adapté à votre application.
Le palan électrique sert à lever des charges lourdes voir très lourdes sans aucun effort, contrairement au treuil qui est fait plutôt pour des opérations de hallage. Les treuils de chantier et de bricolage font du levage et sont les exceptions qui confirment la règle. Généralement les palans standard, suivant les modèles, permettent de lever des charges jusqu’à 100t. Ils permettent de travailler avec plus de sécurité en limitant les accidents. Avec 1 seule personne, ils permettent d’améliorer la productivité. Grâce à leurs vitesses de levage, ils permettent de déplacer rapidement et avec précision les charges. Ils permettent de réduire les travaux difficiles et de diminuer les arrêts de travail des ouvriers qui sans palan manutentionnent à la main des charges lourdes et détruisent petit à petit leur dos et d’autres parties de leur corps. De plus, le palan électrique est relativement silencieux et permet de garder un environnement peu bruyant. Le palan électrique réduit l’emploi d’ouvriers pour des tâches pénibles et inintéressantes.
Les palans électriques sont régulièrement utilisés dans toutes les industries de l’acier, du bois, du plastique, de la pierre, etc, sur différents chantiers, dans les usines fabricant des automobiles, des trains, des avions, des machines, des éléments préfabriqués en béton, etc.
Tout d’abord, comment a été réalisé le premier palan et quels sont tous les types de palans ? L’invention du palan manuel est attribuée à Archimède, un ingénieur, mathématicien et physicien grec, né en 287 avant J.- C.. Le palan est constitué d’un premier groupe de poulies (appelé moufle supérieure), fixé en point haut, sous un support adapté, puis d’un second groupe de poulies (appelé moufle inférieure) équipée d’un crochet de levage en sa partie inférieure et d’une corde reliant les deux moufles en passant sur les poulies (appelées réas). Aussi, la moufle supérieure est équipée d’un point d’attache permettant de fixer l’extrémité de la corde. Le principe de fonctionnement est le suivant, pour un palan à 2 moufles chacune équipée de 2 poulies. On fait passer la corde sur la première poulie (réa) de la moufle supérieure, puis la corde descend sur la première poulie de la moufle inférieure, puis remonte sur la seconde poulie de la moufle supérieure puis redescend sur la seconde poulie de la moufle inférieure, puis remonte se fixer au point d’accrochage de la moufle supérieure. A l’autre extrémité de la corde, si une personne tire sur la corde, grâce à ce système appelé palan, le crochet de levage de la moufle inférieure permet de lever une charge avec une force bien supérieure. Ainsi est créé le premier palan avec un mouflage à 4 brins (communément appelé mouflage 4/1). Grâce à ce principe, la force est démultipliée 4 fois. Donc si une personne tire sur la corde avec une force de 10 kg, cette personne pourra lever une charge de 40 kg avec ce palan. Dans le cas d’un mouflage à 6 brins, la force serait démultipliée 6 fois. Plus le mouflage est important plus la force de levée est importante. Aussi, plus le mouflage est important plus vous avez de longueur de corde entre la moufle supérieure et la moufle inférieure. Ainsi, pour un mouflage 4/1, si vous tirez 4 mètres de corde, le crochet de levage va se lever seulement de 1m et pour un mouflage 6/1, il faudra tirer 6 m de corde pour lever 1m, et ainsi de suite. Le système peut aussi fonctionner en oblique ou éventuellement à l’horizontal. Il existe 2 grandes familles de palans; Les palans manuels et les palans mus par l’apport d’électricité ou un fluide (air comprimé ou huile sous très haute pression). Il existe aussi 3 sous familles caractérisées par les palans à chaîne, palans à câble et les palans à sangle. Les plus répandus sont les palans à chaîne.
Les palans munis d’une corde ne sont quasiment plus utilisés. Ils sont supplantés par les palans manuels à chaîne, à chaîne de manœuvre, qui sont les palans les plus utilisés. La plupart de ces palans sont fabriqués en Chine et sont peu chers. Généralement, en fonction des modèles, les capacités de charge se situent entre 250kg et 50 tonnes. Ces palans liés à un système de mouflage permettent de lever des charges très lourdes (comme expliqué dans le descriptif général des palans). Ils sont équipés d’un crochet supérieur tournant qui permet d’accrocher le palan sous un anneau ou une griffe de suspension. En standard, ces palans sont composés d’un corps de palan avec des carters en acier, un réducteur équipé d’un frein généralement sans amiante, un crochet de suspension, un crochet de levage, pour les grosses charges une moufle inférieure et éventuellement une moufle supérieure fixée au palan, moufles équipées de poulies appelées de noix de renvoi, un volant d’entrainement, une noix de levage, parfois un limiteur de charge, parfois un bac à chaîne et 2 chaînes, la chaîne de levage et la chaîne de manœuvre.
Contrairement aux palans ‘’antiques’’ qui fonctionnaient en tirant sur une corde, les palans manuels à chaîne, à chaîne de manœuvre fonctionnent lorsque l’on tire à la force des bras sur la chaîne de manœuvre. En tirant sur cette chaîne qui forme une boucle, elle fait tourner un volant de manœuvre, qui entraîne les pignons du réducteur, qui entraîne une noix de levage. Cette noix entraîne la chaîne de levage avec un crochet à son extrémité. Ainsi, si l’on tire sur la chaîne de levage dans un sens ou dans l’autre, on fait monter ou descendre le crochet de levage. Le système de démultiplication, qui permet de lever des charges importantes, se situe dans le réducteur et aussi grâce à un volant de manœuvre d’un diamètre bien plus important que la noix d’entrainement. Le volant de manœuvre ainsi que la noix de levage sont munis de crans (appelés poches) permettant d’entrainer les chaînes. La chaîne de manœuvre est une chaîne de faible qualité supportant une charge de 100 à 150kg, mais avec une protection anticorrosion en surface par électro-zingage. La chaine de levage est d’une grande qualité pouvant lever plusieurs tonnes. Elle est composée d’une suite d’anneaux ovales (maillons) d’une dimension très bien calibrée, composé d’un acier très résistant à la traction, avec un traitement de surface composé souvent d’un apport de carbone en périphérie, suivi d’une trempe afin de rendre la surface des maillons plus dure et donc plus résistante à l’usure. Souvent un dernier revêtement est appliqué sur cette chaîne par électro-zingage, déposant une couche de zinc, qui apporte une résistance à la corrosion. Les chaînes de levage ont différentes dimensions en fonction des capacités de charge et des souhaits des constructeurs de palans. Les chaînes de levage doivent être graissées de temps en temps avec une graisse relativement fluide car une chaîne non graissée s’use environ 10 fois plus vite qu’une chaîne graissée. Dans le cas, d’usage de palan travaillant en permanence dans la poussière, la graisse est déconseillée, car graisse + les grains de poussière forment une pate très abrasive, très nuisible à la chaîne. Dans ce cas, il faut privilégier un lubrifiant sec, souvent à base de téflon. Pour éviter tout accident, il est nécessaire de contrôler régulièrement l’état de la chaîne de levage, de ses crochets, et du frein. Un contrôle par un organisme agréé, est obligatoire, au moins une fois par an. Aussi, il est interdit de lever avec un palan, une charge supérieure à celle indiquée sur sa plaque signalétique. Il existe une gamme à carcasse aluminium. Du fait de leur légèreté, ces palans sont un atout important pour les personnes qui travaillent sur les chantiers.
Les palans sont soumis à divers réglementations et décrets comme : la directive machine 2006/42/CE, les décrets 98/1084 et 2002-1404 et de nombreux articles du code du travail. Les chaînes de palans sont elles aussi soumises à des règlementations spécifiques comme entre autres les normes DIN 5684-8 et EN 818-7.
Dans la famille des palans manuels à chaîne, il existe une gamme bien moins utilisée. Les palans manuels à chaîne, à levier. Ils sont équipés d’un crochet supérieur tournant qui permet d’accrocher le palan à levier sous un anneau ou une griffe de suspension. En standard, le corps et les carters sont en acier. Un levier remplace le volant de manœuvre et la chaîne de manœuvre. Par un mouvement de balancier sur le levier via un petit réducteur et une noix de levage, on agit sur la chaîne de levage. Un petit commutateur manuel sur le levier, permet de sélectionner la montée ou la descente du crochet. Généralement, ce palan est équipé d’une chaîne de levage relativement courte, environ 1,5m avec un crochet tournant à son extrémité. Il est aussi équipé d’un frein généralement sans amiante. Ce palan est souvent utilisé pour des applications de maintenance ou de montage de machines. Ces palans sont aussi essentiellement fabriqués en Chine et sont économiques. En général, la gamme de charge de ces palans à levier débute à 250kg et fini à 9 tonnes. Il existe une gamme à carcasse aluminium. Grâce à leur légèreté et leur compacité, ces palans à levier sont très appréciés par les personnes qui travaillent sur les chantiers. Ils sont assujettis aux mêmes règles de conformité et de contrôle que les palans manuels à chaîne.
Ces palans manuels sont les moins utilisés. Ces palans sont originaires des USA, mais sont très copiés par l’industrie Chinoise. Leurs capacités de charge sont très limitées. De 450kg à 1800kg. Les palans sont composés d’un châssis ouvert, d’un tambour sur lequel est enroulé le câble ou la sangle polyester. Ce tambour est monté sur un axe. Le tambour est équipé d’une roue dentée qui est entrainée par un cliquet, via un levier. Un doigt de reversion permet d’inverser le sens de fonctionnement du palan, en activant un des 2 cliquets qui s’enclenchent indépendamment dans la roue dentée. Hors charge, Il est aussi possible de débrayer le tambour pour sortir une longueur importante de câble ou de sangle en peu de temps. La course de ces palans est relativement faible, compte tenu que le tambour a des dimensions très réduites. En fonction des capacités de charge, la course de ces palans varie entre 1,5m et 9,2m. L’avantage de ces palans est d’avoir un poids relativement faible, de 4,5 à 15kg. Ce type de palan peut être équipé d’une moufle inférieure, à une poulie. Cette moufle est équipée d’un crochet. Ils sont assujettis aux mêmes règles de conformité que la plupart des palans manuels.
Le premier palan électrique a été créé en 1903 par l’Allemand Raphael Stahl, qui créa la Société R. Stahl, qui à ce jour fabrique toujours des palans électriques de qualité et de réputation mondiale.
On les trouve dans l’industrie agro-alimentaire et dans quelques salles blanches. Les palans électriques à chaîne sont en quelque sorte des palans manuels à chaîne, à chaîne de manœuvre dont on aurait remplacé le volant de manœuvre par un moteur électrique. Donc ce palan est équipé d’un moteur électrique avec frein, qui fait tourner un réducteur, qui entraîne une noix de levage, qui entraine une chaîne de levage, équipée à son extrémité d’un crochet de levage ou une moufle de levage. En fonction des modèles, la capacité de levage la plus faible est 50kg et la plus forte est 60 tonnes. La course ou la hauteur de levée de ces palans dépend de la capacité du bac à chaîne et de la taille de la chaîne. Par exemple, la hauteur de levée maximale d’un palan standard 1600kg est d’environ 80m maximum.
Les palans électriques à chaînes ont des vitesses plus ou moins rapides. Aujourd’hui, la plupart des palans ont 2 vitesses de levage comprises entre 0,4 m/mn et 20m/mn. Les palans électriques existent dans de nombreuses tensions d’alimentation. En Europe et en Afrique la tension d’alimentation la plus courante est 400V triphasé 50Hz pour les applications industrielles et 230V monophasé pour les applications à moindre sollicitation.
Les moteurs frein des palans sont aujourd’hui à rotor cylindrique chez la plupart des constructeurs de palans. Néanmoins, autrefois, il y a environ 40 ans, les palans étaient régulièrement équipés de moteurs frein à rotor conique. Avantage de ces moteurs à rotor conique, il n’y a pas de platine électronique de freinage, ni de bobine de frein. Inconvénient, ils sont plus cher à produire car ils sont produits en petite quantité. Ces palans sont de plus en plus souvent équipés d’un appareillage électrique basse tension. Ainsi, la boîte de commande est parcourue par une très basse tension, 24V, 42V ou très souvent 48V, qui prévient tout risque d’électrocution en cas de boîtier de commande (boîte à boutons) endommagé. Il existe 2 types d’appareillage, soit des cartes électroniques relativement fragiles avec un coût de réparation très élevé, ou un câblage filaire avec des contacteurs traditionnels du commerce, raccordés avec des vrais fils électriques, donc très facile à réparer et d’un coût de maintenance relativement faible. La commande de ces palans se fait soit par une boîte à boutons filaire, soit par une télécommande sans fil, qui est la plupart du temps une radiocommande industrielle. La télécommande sans fil utilisant la technologie des infrarouges n’est quasiment plus utilisée, car très chère, plus difficile à installer et moins pratique à utiliser car l’émetteur doit toujours viser le récepteur infrarouge pour bien fonctionner.
Les palans électriques à chaîne peuvent être suspendus soit par un anneau de suspension, ou une platine de fixation, ou un crochet de suspension, de façon à rendre le palan stationnaire, soit par un chariot à déplacement manuel, ou un chariot électrique pour le rendre mobile sous une poutre métallique en I ou en H. La plupart des palans électriques à chaîne fonctionnent dans les usines, soit à poste fixe, soit sous une potence, ou un portique, ou une poutre roulante, ou un semi-portique, ou un pont roulant.
L’avantage d’un palan électrique est qu’il a un rapport poids puissance très intéressant, qu’il est très facile à mettre en œuvre, et qu’il peut se déplacer dans les usines sans avoir besoin d’allées, comme c’est nécessaire pour les chariots élévateurs. De plus le palan électrique à chaîne permet de lever une charge toujours centrée sous le palan. Autre avantage, l’opérateur n’a aucun effort à fournir pour lever une charge, juste à appuyer sur un bouton. Autre avantage, si le palan électrique à chaîne est équipé d’une radiocommande, l’opérateur peut manutentionner une charge en toute sécurité car il peut s’éloigner de la charge déplacée par le palan.
De plus il existe de nombreuses variantes, comme des palans hauteur perdue réduite, des palans à 2 sorties de chaîne, voir 4 sorties de chaîne, des chariots spéciaux capables de circuler dans des courbes assez serrées, des palans spéciaux pour lever des Big-bags, des palans travaillant à l’envers pour le domaine du spectacle, des palans équipés de systèmes de sécurité spéciaux afin de travailler dans des ambiances où il y a du public et même des palans ATEX pour travailler dans des ambiances à risques d’explosion comme dans les industries pétrochimiques.
A propos de sécurité, les palans électriques à chaîne sont quasiment tous équipés d’un limiteur de charge mécanique, généralement à friction. Ce limiteur de charge est obligatoire sur les palans électriques à partir de 1000kg. En cas de surcharge, le limiteur entre en action et se met à patiner, un peu comme un embrayage très fatigué sur une voiture. Avant toute mise en service, les palans doivent être testés par un organisme agréé. Les palans électriques à chaîne doivent pouvoir lever, puis à l’arrêt maintenir en suspension, une charge équivalente à 125% de la charge nominale (CMU) du palan, sans glissement du frein. Aussi, pour garantir un niveau de sécurité optimum, les palans électriques doivent être régulièrement entretenus et régulièrement contrôlés au moins un fois par an, par un organisme de contrôle agréé.
Les palans électriques répondent à des normes et décrets comme la directive machine 2006/42/CE, les décrets 98/1084 et 2002-1404 et de nombreux articles du code du travail.
Il existe 2 grandes familles de palans à câble. Une première famille avec les palans dédiés aux bricoleurs et aux petits chantiers, pas chers, fabriqués en Chine et incapables de résister à une utilisation à peine soutenue, donc avec un faible facteur de marche et un très faible groupe ou indice FEM (indice de résistance). Ces appareils sont indument appelés palans, mais sont en réalité des treuils qui sont très régulièrement appelés treuils de chantier. La deuxième famille de palans à câble concerne les palans à câbles industriels qui sont prévus pour résister à un travail bien plus intense. Dans cet article nous ne nous étendrons pas sur les palans à câble pour bricoleurs qui sont alimentés la plupart du temps en 230V monophasé. Globalement leurs capacités de charge évoluent entre 100kg et 495kg en 1 brin de câble et jusqu’à 990kg s’ils sont mouflés en 2 brins de câble. La hauteur de levée de ces palans est d’environ 12m. Ils sont sans limiteur de charge. Le câble est enroulé sur un petit tambour sans guide câble, donc en couches superposées ce qui entraine une usure plus rapide du câble. Le facteur de marche est seulement d’environ 15 à 20% et le groupe FEM est proche de 1dm (M1), donc très faible. Ils sont prévus pour une fixation stationnaire sous un tube carré ou rond ou sous un fer en I ou en H, lorsqu’ils sont équipés d’un petit chariot électrique spécifique. Dans les 2 cas, ces palans électriques sont pilotés avec une boîte à boutons et éventuellement avec une radiocommande.
Comme les palans électriques à chaîne, les palans électriques à câble industriels sont aussi très répandus. Ils sont en moyenne, 10 fois moins nombreux que de palans électriques à chaîne. Certains constructeurs donnent le nom de treuil à leurs palans électriques à câble. D’autres appellent treuils de très gros palans non standard, au-delà de 100 tonnes et fabriqués sur mesure. Comme les palans électriques à chaîne, les palans électriques à câble sont mus par un moteur électrique qui via un réducteur entraine un tambour sur lequel est enroulé un câble à spires jointives, grâce au guide câble, avec un crochet en extrémité du câble ou une moufle. L’avantage des palans à câble est d’avoir des vitesses de levage plus importantes, un groupe ou indice FEM (indice de résistance) plus élevé et de lever des charges plus lourdes que les palans électriques à chaîne. Les désavantages sont un prix en moyenne 2 fois plus cher, un poids bien supérieur et des dimensions plus importantes que le palan électrique à chaîne. Contrairement à la plupart des palans électriques à chaîne, ils peuvent être équipés d’un variateur de vitesse sur le levage, permettant une levée et une dépose en douceur de la charge. Pour les palans à câble équipés d’un chariot électrique, pour certaines applications, il est intéressant d’avoir un variateur de vitesse afin d’éviter le balancement de la charge au démarrage et surtout à l’arrêt. De plus le variateur soulage la mécanique lors des démarrages et des arrêts fréquents. Inconvénient, le palan ne s’arrête jamais rapidement, et les cartes électroniques sont plus sujettes à des pannes que de simples contacteurs. De plus le coût de remplacement de ces cartes est extrêmement élevé.
Au niveau de la sécurité, ces palans sont tous équipés de fins de course de levage, de fin de course de direction et d’un limiteur de charge électrique qui déclenche à 10% de surcharge. Ces palans peuvent être équipés d’un second frein de secours qui agit directement sur le tambour. Ce frein s’enclenche en cas de survitesse de rotation du tambour. Ainsi en cas de rupture de la chaîne cinématique le frein de secours au tambour retiendra la charge. Cette option est indispensable dans les applications très dangereuses, comme les fonderies, les centrales nucléaires, etc. De plus il existe de nombreuses variantes et options, comme des palans hauteur perdue réduite, des palans à 2 ou 4 sorties de câbles, des chariots articulés spéciaux capables de circuler sous des courbes assez serrées, des palans équipés de systèmes de sécurité afin de travailler dans des ambiances où il y a du public et même des palans ATEX pour travailler dans des ambiances à risques d’explosion comme la pétrochimie Avant mise en service, comme les palans électriques à chaîne, leur bon fonctionnement doit être contrôlé. Le levage d’une charge d’une valeur de 110% de la charge nominale (CMU) doit être validé, ainsi que la coupure de la montée avec une charge supérieure à 110%, et la tenue du frein pendant une heure avec une charge à 125% de la CMU (charge maximale utile). De plus, ils doivent être contrôlés au moins un fois par an, par un organisme de contrôle agréé. Ce contrôle est semblable à un contrôle technique de voiture.
Les palans électriques à câble répondent aussi à des normes et décrets comme la directive machine 2006/42/CE, les décrets 98/1084 et 2002-1404 et de nombreux articles du code du travail.
Il n’existe qu’une seule famille de palans pneumatiques, les palans pneumatiques à chaîne. Sauf erreur, nous n’avons pas connaissance de l’existence de palan pneumatique à câble. Le palan pneumatique fonctionne sur le même principe que le palan électrique, mais il est équipé d’une turbine (moteur pneumatique) à la place du moteur électrique.
Ses avantages sont multiples, le moteur de ce palan ne chauffe pas contrairement aux moteurs électriques. Ainsi son facteur de marche peut être de 100%, il peut donc travailler avec des cadences très élevés. Il ne craint pas les problèmes d’humidité que l’on rencontre dans les fromageries ou les stations de lavage de citernes de camions.
Les inconvénients de ces palans pneumatiques sont : le prix plus élevé, une mise en œuvre plus complexe car des tuyaux d’air comprimé sont plus difficiles à installer que des fils électriques surtout si le palan se déplace sous un fer de roulement, ces palans sont bruyants, et leur consommation en air comprimé est souvent très importante ce qui impose d’avoir un compresseur d’air conséquent.
Comme vu précédemment, le palan électrique à câble est d’abord un palan, donc équipé d’un réducteur lié à un tambour qui stocke et entraine un câble qui est équipé en extrémité d’un crochet ou d’une moufle avec un crochet. Le palan électrique à chaîne est aussi équipé d’un réducteur lié à une noix d’entrainement qui fait descendre ou monter une chaîne équipée en extrémité d’un crochet ou d’une moufle avec un crochet. A l’autre extrémité du réducteur est raccordé un moteur. Le moteur est piloté par un appareillage électrique qui lui-même est raccordée à une boîte de commande (télécommande, ou boîte à boutons ou radiocommande industrielle). Ainsi, l’appareillage électrique est mis sous tension et dès l’action sur un bouton de la télécommande, un contacteur de l’appareillage électrique envoie un courant électrique dans le moteur du palan électrique à câble, le moteur se met à tourner, entraine le réducteur, qui lui-même entraine le tambour qui fait monter ou descendre le câble et donc le crochet à son extrémité. Pour le palan électrique à chaîne, le moteur entraine lui aussi un réducteur qui fait tourner une noix d’entrainement qui entraine la chaîne en la faisant monter ou descendre et donc le crochet à son extrémité. Pour changer de sens de rotation du moteur, l’opérateur appuie sur le bouton de sens inverse, ce qui active un autre contacteur et fait tourner le moteur en sens inverse et via la chaîne cinématique du palan, active le crochet en sens inverse. Donc si une charge est accrochée au crochet du palan, cette charge va pouvoir monter ou descendre en fonction des besoins de l’opérateur qui utilise le palan.
Certes, vous allez vous dire qu’il suffit d’appuyer sur l’interrupteur (bouton) de la télécommande et le tour est joué. C’est vrai, mais il y a quelques procédures à suivre pour assurer la sécurité et travailler dans de bonnes conditions. Par exemple, il faut bien répartir le poids de la charge afin que celle-ci soit équilibrée afin de lever en toute sécurité. D’abord, vous devez attacher la charge au crochet qui se trouve à l’extrémité du câble ou de la chaîne ou au crochet de la moufle, via un accessoire de levage comme une élingue, une pince, un aimant de levage ou un autre équipement. Une fois l’objet prêt à être soulevé, assurez-vous de votre sécurité et celle de tiers avant de piloter le palan avec la boite à boutons ou la radiocommande. Avant de lever la charge, vérifiez que le linguet de sécurité du crochet est bien refermé pour maintenir dans le crochet le moyen de préhension de la charge. S’assurer que la charge à lever n’est pas plus lourde que ce qui est indiqué sur le palan. Si tout est conforme, lever lentement la charge, faire décoller la charge de quelques centimètres puis arrêter de lever. Assurer vous que la charge est bien arrimée et bien équilibrée (particulièrement pour les charges longues). Si tout semble correct vous pouvez manutentionner votre charge. Aujourd’hui, la plupart du temps, les palans sont équipés de moteur(s) 2 vitesses de levage (petite vitesse, grande vitesse) et 2 vitesses de direction (si un chariot électrique a été acheté avec le palan). Choisissez la vitesse appropriée au type de charge ainsi qu’à son environnement. Optez pour la petite vitesse s’il s’agit d’un déplacement qui requiert de la précision.
Tout au long de la manœuvre, veillez toujours à assurer la sécurité de la charge et de son environnement afin d’éviter des dommages matériels. N’hésitez pas à arrêter le déplacement de temps en temps pour vérifier que l’objet est toujours dans une position stable. De cette façon, vous éviterez les accidents.
Il est indispensable de lire la notice du palan avant la première utilisation et de bien comprendre son fonctionnement ainsi que les recommandations d’utilisation. Respecter les consignes de maintenance préventive en assurant régulièrement le changement des pièces d’usure et effectuer régulièrement les contrôles et les réglages préconisés. N’oubliez pas de noter toutes les opérations de maintenance dans le carnet de maintenance qui est obligatoire et que RM2M peut vous fournir. N’oublier pas de faire réaliser la visite de contrôle annuel de votre palan électrique par un organisme de contrôle agréé. Pour assurer votre sécurité et celle de vos collaborateurs, il est impératif de respecter les consignes de sécurité ci-dessous. RM2M peut vous fournir des plaques signalétiques adhésives ou sur support rigide rappelant ces consignes, qui doivent être affichés obligatoirement près de vos palans et appareils de levage. Vous pouvez lire ci-dessous un extrait de ces consignes de sécurité liées à l’utilisation des appareils de levage comme les palans électriques.
Plus précisément, il est interdit :
Il est obligatoire :
D’avoir reçu préalablement une formation dédiée à la conduite de palan et de pont roulant, validée par le chef d’établissement ayant cette aptitude, ou mieux par un organisme de formation habilité à former des personnels à la conduite des pont roulants qui délivrera un certificat d’aptitude à la conduite en sécurité des ponts roulants (CACES) et un accord du médecin du travail validant l’aptitude de la personne à conduire un pont roulant et un palan, suivant le décret n°2015-172 et l’article du 2 décembre 1998 Avant chaque mouvement de direction du palan, de vérifier que la charge ne heurtera pas un obstacle, un objet, ou une personne
Avant mise en service, un contrôle de bon fonctionnement et d’adéquation avec l’environnement de travail doit être effectué par un organisme agréé. Puis une fois par an, l’état et le bon fonctionnement du palan électrique doit être contrôlé par un organisme agréé. Tout au long de sa vie, le palan doit être parfaitement entretenu. Si le palan change de site de travail ou si un élément principal est changé sur le palan, un organisme de contrôle doit valider à nouveau son bon fonctionnement et doit faire un examen d’adéquation avec l’environnement de travail. Si tout est correct, l’organisme de contrôle donnera son accord pour une nouvelle mise en service.
Avant d’acheter un palan électrique, il faut prendre en compte certains détails techniques importants. Pour tout conseil n’hésitez pas à consulter les techniciens de RM2M. Les technicien-commerciaux ont près de 30ans d’expérience dans le domaine du levage avec des palans électriques. De plus nos conseils sont gratuits. D’abord, il faut connaître le poids de la charge la plus importante que vous allez soulever avec votre engin. C’est le détail à ne pas mettre de côté. Si votre charge la plus lourde pèse 450kg, il vous faudra un palan électrique d’une charge maximum utile (CMU) de 500 kg. Ensuite il faut analyser ce que va devoir faire réellement le palan et à quelles cadences de travail le palan électrique sera soumis. Plus le palan électrique travaillera intensivement plus il devra être résistant dans le temps. Cet indice de résistance est répertorié dans un tableau dit tableau des classes de fonctionnement suivant les règles FEM ou les normes ISO. L’indice M1 (ou 1Dm), soit l’indice le plus bas qui correspond à une faible sollicitation du palan, donc prévu pour lever majoritairement de faibles charges et peu de temps de travail, soit 50% du temps avec des charges pesant seulement 10% de la CMU et 50% du temps avec des charges pesant seulement 40% de la CMU, et l’indice le plus haut M8 (ou 5m) correspond à une utilisation très intensive, donc prévu pour lever majoritairement de très lourdes charges, à 100% de la CMU, durant près de 90% du temps d’utilisation et 10% du temps avec des charges pesant environ 80% de la CMU (en moyenne). Cet indice est aussi important que la définition de la CMU du palan. Donc pour pouvoir utiliser longtemps votre futur palan il faudra le choisir avec un indice de résistance bien adapté à la sollicitation que vous appliquerez à votre futur palan. Sur le même principe il faut absolument tenir compte du facteur de marche, car tout moteur électrique en fonctionnement, chauffe et au-delà d’un certain temps de travail le moteur du palan va surchauffer et son bobinage sera grillé. En levage, les moteurs de palan sont très compacts et extrêmement sollicités. Ces moteurs surchauffent rapidement après quelques minutes de fonctionnement. Pour éviter de griller les moteurs de palan, il est nécessaire de respecter le facteur de marche qui est affiché en % par période de 10mn. Ainsi un palan à pleine charge (soit chargé à 100% de sa CMU) et qui a un facteur de marche de 40% en grande vitesse et 20% en petite vitesse (soit un facteur de marche de 60%), pourra fonctionner sans problème pendant 40% de 10mm (4mn par période de 10mn) en grande vitesse et pendant 20% de 10mn (2mn par période de 10mn) en petite vitesse. Ne jamais dépasser ces temps de fonctionnement sinon le moteur de votre palan sera détruit. Donc si vous avez une grande hauteur de levée ou un temps de travail important sans discontinuer il faudra sélectionner un palan avec une vitesse de levée rapide, voir très rapide. Il est aussi recommandé de prévoir une sonde thermique pour les palans avec de grandes hauteurs de levée ou si les cadences de travail sont élevées. L’autre point important, est le nombre de démarrages par heure. Sachant que lorsque vous démarrez un moteur électrique, l’intensité électrique au démarrage est d’environ 10 fois l’intensité nominale. Plus l’intensité électrique consommée par le palan est élevée, plus le moteur chauffe. Donc si vous démarrer trop souvent votre palan, vous faites surchauffer le moteur et vous risquez de griller le moteur.
Informations sur les états de sollicitation et sur les classes de fonctionnement (sur la base de documents issus de la FEM) :
Etat de sollicitation du palan électrique en levage
(Charge maximum utile en rapport avec le temps effectif de travail du palan)
Classe de fonctionnement d'un palan électrique en levage (montée et descente du crochet), suivant les règles FEM et la norme ISO
Ainsi si vous souhaiter utiliser longtemps votre palan, il est très important de bien définir l’indice de résistance de votre futur palan (groupe FEM ou ISO), respecter le facteur de marche en choisissant la bonne vitesse de levage par rapport à la course du crochet et du nombre de cycles que vous souhaitez faire. 1 cycle correspond à : 1 montée, 1 arrêt, 1 descente, 1 arrêt. Aussi, ne jamais excéder le nombre de démarrage par heure indiqué sur la fiche technique du palan ou sur le devis du vendeur de palan. Puis il faut définir la vitesse ou les vitesses de levée du palan. Comme vu précédemment, la vitesse de levée doit être adaptée à la hauteur de levée du palan (course du crochet, du point le plus haut au point le plus bas). Si vous avez une grande hauteur de levée il faut privilégier une grande vitesse de levage. De plus, si vous souhaiter poser en douceur la pièce levée par le palan, il faudra aussi une petite vitesse. Ainsi la plupart des palans vendus sont équipés d’un moteur bi-vitesses. Il est donc vivement conseillé d’acheter des palans bi-vitesses qui sont guerre plus chers que les palans mono-vitesse.
Attention à bien déterminer la tension d’alimentation de votre futur palan. Dans la limite du possible, il est préférable de privilégier le 400V triphasé, car les moteurs triphasés accepteront une plus grande sollicitation. Les palans alimentés en 230V monophasé sont vraiment à conseiller pour les faibles utilisations. Aussi, il faut privilégier un appareillage électrique en très basse tension (inférieur à 50V), car tôt ou tard la boîte à boutons de votre palan sera endommagée et s’il y a du 400V à l’intérieur, l’électrocution sera difficilement évitable. Tandis que si vous avez du 48V ou plus rarement du 24V, vous ne risquerez jamais l’électrocution. La très basse tension est une très grande sécurité pour l’utilisateur du palan.
Il faut aussi privilégier un palan équipé d’interrupteur de fin de course de levage. Ainsi en extrémité de course du crochet de votre palan, le moteur sera coupé. Sans ces fins de course, vous userez prématurément votre limiteur de charge, ou au pire casserez votre palan. Pour limiter les mauvaises surprises et pouvoir assurer sur le long terme une bonne maintenance de votre futur palan, évitez les marques exotiques. Il existe de nombreux fabricants en Europe qui vous apporteront entière satisfaction. Un produit pas cher fini toujours par revenir plus cher qu’un produit de qualité. Dernier point, vérifiez que votre futur palan électrique pourra parfaitement fonctionner dans l’espace où il sera installé. Ne jamais sous-estimer la hauteur du palan et de son éventuel chariot, particulièrement si votre bâtiment est bas de plafond. Parfois, il est intéressant de privilégier des palans compacts, voir des palans hauteur perdue réduite. Aussi, faire valider la tenue du support du palan par une personne ayant cette aptitude. Donc ne jamais installer un palan sous une structure trop faible, ne résistant pas à la charge soulevée par le palan et le propre poids du palan.
RM2M propose un large choix de palans électriques. RM2M a en stock en permanence 20 à 30 palans électriques de 125kg à 2000kg ce qui permet de livrer rapidement les clients. Contactez-nous pour découvrir nos offres et demander un devis gratuit. De plus, RM2M n’est pas mono-marque, et grâce à sa longue expérience, RM2M pourra vous conseiller le palan le plus approprié pour votre projet. Que vous soyez utilisateurs ou intégrateurs, nous avons ce qu’il vous faut en matière d’appareils de levage. Il en est de même pour to ut ce qui concerne les matériels associés aux palans, comme les radiocommandes industrielles, les potences, les portiques, les aimants de levage, les pinces de manutention et biens d’autres accessoires de levage.
Pour toute question complémentaire, RM2M reste à votre disposition.
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Un palan électrique à chaîne est un appareil de levage conçu pour soulever ou déplacer des charges verticalement à l'aide d'une chaîne métallique. Il diffère des palans à câble et présente plusieurs spécificités :
Mécanisme de chaîne : Contrairement aux palans électriques à câble qui utilisent un filin en acier enroulé autour d'un tambour, les palans à chaîne sont équipés d'une chaîne métallique robuste. Cette chaîne passe à travers un système de poulies qui multiplie la force générée par le moteur, autorisant ainsi le soulèvement de la charge.
Durabilité et résistance : Les chaînes en acier utilisées dans ces palans électriques sont extrêmement robustes et résistantes à l'usure, des notions indispensables pour des applications industrielles où le palan peut être soumis à des conditions difficiles et à une utilisation fréquente.
Taille compacte : Nos palans à chaîne sont plus compacts que les palans électriques à câble. Leur conception plus petite et plus légère les rend adaptés pour les espaces réduits et pour des applications nécessitant une grande mobilité dans les opérations de manutention et de levage.
Capacité de levage : Bien que nos palans à chaîne soient disponibles dans une variété de capacités de levage, ils s'adressent généralement au levage de charges plus légères que celles habituellement levées par les palans à câble. Ils sont couramment utilisés pour des charges allant de quelques centaines de kilogrammes à quelques tonnes. RM2M propose des palans électriques à chaîne capables de soulever des charges jusqu'à 6300 kg.
Hauteur de levage : La hauteur de levage d'un palan à chaîne est limitée par la longueur de la chaîne bien que des chaînes supplémentaires puissent être ajoutées pour augmenter cette capacité, si nécessaire.
Facilité d'entretien : Les palans à chaîne sont relativement faciles à entretenir. La chaîne doit être inspectée visuellement et lubrifiée régulièrement pour assurer un parfait fonctionnement.
Applications : Ces palans électriques à chaînes trouvent leur utilisation dans des ateliers, des entrepôts, des usines de fabrication ou sur des chantiers de construction. Ils sont particulièrement appréciés pour les tâches de levage répétitives.
Options de contrôle : Comme les palans à câble, nos palans à chaîne électriques sont équipés de commandes manuelles qui peuvent être gérées à distance, permettant ainsi à l'opérateur de contrôler précisément le levage et l'abaissement de la charge.